Lorsque M. Véran, alors ministre en charge de la santé, avait, contre l’avis unanime de la profession, renoncé en septembre 2021 à suivre l’avis de la commission consultative nationale d’agrément (CCNA) et à exercer un contrôle ambitieux de la formation en ostéopathie en maintenant les décisions de rejet d’agrément qu’il avait lui-même adopté en juillet, il avait chargé l’Inspection générale des affaires sociales d’une mission « d'évaluation portant sur le processus de délivrance d'agrément des écoles de formation initiale » en ostéopathie.
TéléchargerDans le cadre des travaux 2022 de la Mission interministérielle pour la protection des femmes contre les violences et la lutte contre la traite des êtres humains (MIPROF), un guide pédagogique, une attestation professionnelle et une notice à destination des ostéopathes ont été mis en place et officiellement présentés lors des 10e rencontres interprofessionnelles de la MIPROF du 22 novembre 2022.
TéléchargerL’ostéopathie est une nouvelle fois agressée par le collectif « No FakeMed » à coup de fausses informations, d’approximations, d’amalgames et d’erreurs de droit. Dans une tribune intitulée « Le collectif No FakeMed alerte sur certaines médicalisations inutiles et parfois dangereuses pour l'enfant. » et publiée dans le Figaro daté du 5 septembre 2022, les auteurs de cette tribune affirment que « L'ostéopathie [est] dangereuse chez le nourrisson. »
TéléchargerLe conseil national de l’Ordre des Médecins (CNOM) a diffusé, sur Twitter le 23 août 2022, un communiqué demandant à Doctolib « de renforcer ses règles éthiques pour s'inscrire sur sa plateforme. » Depuis près de deux ans, le Syndicat français des ostéopathes (SFDO) demande à Doctolib de vérifier que les professionnels qui s’y inscrivent sont diplômés et respectent les règles légales d’exercice de leur profession. A de très nombreuses reprises, le SFDO a constaté que des personnes en situation d’usurpation du titre d’ostéopathe ont pu s’y inscrire en toute impunité et y sont toujours référencées.
Contrôle de la formation des ostéopathes, ou comment clientélisme rime avec laxisme… les représentants de la profession au sein de la CCNA tirent les conséquences du renoncement gouvernemental.
TéléchargerDans l’émission « Le Mag de la Santé » diffusée sur France 5 le 17 mars 2022, lors d’une chronique de 52 secondes, le docteur Jimmy Mohamed affirme notamment : « Laissez vos bébés tranquilles. L'ostéopathie chez les nouveau-nés, ça ne sert à rien ! », la Société européenne de recherche en ostéopathie périnatale et pédiatrique (SEROPP) et le Syndicat français des ostéopathes (SFDO) s’insurgent contre de tels propos.
TéléchargerLundi 4 mai, dans une fiche intitulée : professionnels de ville : distributions de masques sanitaires par l’État en sortie de confinement (au 11 mai 2020), diffusée par le ministère de la santé, les ostéopathes sont toujours les grands absents, malgré de multiples courriers exhortant le gouvernement à agir en responsabilité.
Qu’attend le gouvernement pour inscrire les ostéopathes parmi les professions exposées ?
Depuis le début de la crise sanitaire que traversent le monde et la France, les ostéopathes exclusifs ont été mis à l’écart et hors de tous les protocoles réservés. Les ostéopathes exclusifs sont aujourd’hui totalement oubliés par les pouvoirs publics.
Aujourd’hui le gouvernement tient un double discours : les ostéopathes peuvent exercer, mais de facto, en ne les autorisant pas à obtenir des masques, leur interdit d’exercer sans mettre en danger les patients et les ostéopathes.
Les trois organisations signataires de ce communiqué, représentatives des ostéopathes, envisagent toutes les options pour défendre la profession.
Devant la crise sanitaire que traversent le monde et la France, les ostéopathes sont inquiets d’être mis à l’écart et hors des protocoles réservés aux uniques professionnels de santé. Pourtant, les ostéopathes sont consultés en première intention par plus de 125000 patients par jour, ce qui constitue la deuxième profession « de la santé » en France en termes d’exposition du public. Malgré cela, ils sont aujourd’hui totalement oubliés par les pouvoirs publics.
Le Syndicat français des ostéopathes (Sfdo), premier syndicat représentatif de la profession a interrogé la profession via une enquête sur internet intitulée « Le coronavirus Covid 19 dans le cadre de votre exercice au quotidien ». À la suite de l’analyse des résultats, le Sfdo a adressé, lundi 9 mars, un courrier à Olivier Véran, ministre des solidarités et de la santé.
Par un communiqué de presse du 9 octobre 2018, le Conseil national de l’ordre des masseurs-kinésithérapeutes (CNOMK) a délivré plusieurs contre-vérités. Le Syndicat français des ostéopathes (SFDO) entend rétablir les faits.
En vertu des décrets n°2014-1043 et 2014-1505 la formation des ostéopathes est définie par un référentiel de formation détaillé dans l’arrêté du 12 décembre 2014 relatif à la formation en ostéopathie. Ce diplôme est délivré par des établissements agréés par le ministère de la santé. La formation à l’ostéopathie est ainsi de haut niveau et très rigoureusement encadrée.
L’affirmation selon laquelle les masseurs-kinésithérapeutes sont autorisés à prendre en charge les pathologies organiques est en conséquence totalement erronée voire trompeuse.
La DGCCRF souhaite étendre aux ostéopathes certaines obligations réservées auparavant aux professionnels de santé : afficher, de manière visible et lisible, dans votre salle d’attente ou dans votre lieu d’exercice, les tarifs des honoraires, ou fourchettes des tarifs des honoraires, des 5 prestations les plus couramment pratiquées dans votre cabinet ou encore l’obligation d’établir un devis préalable à la consultation si les honoraires sont supérieurs à 70 €.
La DGCCRF a sollicité le SFDO sur un projet d’arrêté. Le SFDO a répondu