Ouvert à toute personne inscrite avant le 19 janvier, se tenait mardi dernier, 23 janvier, un colloque au ministère de la santé, afin de présenter la restitution des travaux pilotés en 2023 sur ce thème par la direction générale de l'offre de soins (DGOS) et la direction générale de l’enseignement supérieur et de l’insertion professionnelle. Un rapport a été rendu à cette occasion, que vous trouverez ici.
Notre profession n’est à ce stade pas concernée par ce projet.
Ces travaux ont notamment réuni la conférence des doyens de médecine, la coordination nationale des collèges d’enseignants en médecine, des associations de patients, d’étudiants en médecine, sous l’égide de la DGOS.
Ils visent à favoriser l’intégration des patients dans les parcours de formation des médecins, balbutiante en France mais présente ailleurs depuis plusieurs décennies, notamment dans les pays anglo-saxons.
Une expérience est menée à la faculté de médecine de Bobigny, qui réunit dans une unité d’enseignement optionnelle des étudiants d’activité physique adaptée, infirmiers, kinésithérapeutes, de médecine, d’odontologie et de pharmacie. L’objectif principal de ce programme est de modifier les représentations des professionnels de santé entre eux et vis-à-vis du patient.
Intégrer des ostéopathes dans des expérimentations telles que celles menées à la faculté de Bobigny pourrait permettre d’améliorer la connaissance des jeunes médecins sur notre discipline…
Des démarches analogues pourraient enfin être discutées dans la formation des ostéopathes.
Affaire à suivre !